Tout d'abord, les animaux qui sont théoriquement éligibles à l'assurance peuvent être divisés en deux catégories : les animaux de ferme et les animaux de compagnie privés. Pour les animaux de compagnie, il existe des offres spécifiques comme l'assurance pour la chasse au chien, par exemple.
Les animaux de ferme comprennent, par exemple, les vaches, les porcs, la volaille et les chevaux d'élevage. En outre, les animaux utilisés dans les sports, tels que les chevaux de course, sont également inclus.
L'assurance du bétail est essentielle
Pour les agriculteurs et les éleveurs de chevaux en particulier, leur gagne-pain est lié à leur bétail. S'ils tombent en panne pour cause de maladie ou de vol, cela a des conséquences sur la fabrication du produit ou l'offre d'une exploitation et donc sur le revenu.
Albert Ziegler est expert agricole auprès de l’assurance animale unie, qui est intégrée à R V groupe d'assurance. Il décrit trois types d'assurance qui conviennent à ces cas : l'assurance-vie animale, l'assurance-santé animale et l'assurance contre les pertes de revenus.
L'assurance-vie pour animaux
L'assurance-vie pour animaux de compagnie est la plus classique des trois formes. Elle s'applique principalement si l'animal meurt ou est limité de façon permanente par une maladie, de sorte qu'il ne peut plus être utilisé pour l'équitation, par exemple.
Dans ces cas, elle rembourse la valeur de l'animal. Mais d'autres bases sont également concevables, par exemple si l'animal a été frappé par la foudre ou volé.
Pour les chevaux de sport, le R V offre la possibilité d'une extension : dans ce cas, l'assurance s'applique également si le cheval devient définitivement inapte. C'est le cas, entre autres, en cas de boiterie et d'inaptitude à la reproduction.
L'assurance dommages aux revenus
Ce type d'assurance concerne également le secteur agricole. Elle intervient principalement lorsqu'une exploitation subit une perte de revenu due à une maladie ou à une épidémie à déclaration obligatoire et couvre donc non seulement l'abattage des animaux mais aussi les divers dommages consécutifs.
Avec ce type d'assurance, il importe peu que votre propre exploitation ou une exploitation voisine soit touchée par une épidémie. Ceci est particulièrement important car les produits sont souvent interdits de commercialisation dans une large zone autour de l'exploitation concernée.
Les pertes qui en découlent sont couvertes par l'assurance perte de gain. Toutefois, les frais supplémentaires occasionnés, par exemple, par le remplacement d'animaux, l'élimination d'animaux morts ou de lait contaminé sont également couverts.
Assurance santé animale, également recommandée pour les animaux de compagnie ?
L'assurance santé animale couvre les frais de traitement chez le vétérinaire. Là encore, il y a une couverture de section pour les chevaux : les coûts des opérations majeures, telles que celles rendues nécessaires par des fractures et des coliques, peuvent être couverts.
Cette forme d'assurance serait également concevable pour les petits animaux ou les animaux domestiques tels que les chiens et les chats. Néanmoins, M. Ziegler déconseille généralement l'assurance maladie pour ce groupe d'animaux, sauf peut-être pour des situations spécifiques comme l'assurance pour la chasse au chien.
"Contrairement à la perte d'un cheval de selle ou d'une vache laitière, celle d'un petit animal de compagnie ne menace pas le gagne-pain du propriétaire privé. Dans ces cas, il s'agirait alors de couvrir les frais vétérinaires.
Ainsi, assurer les animaux de compagnie n'est généralement pas rentable financièrement, car le montant de la prime est disproportionné par rapport au coût du traitement chez le vétérinaire. C'est d'autant plus vrai que la contribution personnelle reste élevée malgré les assurances."
Il est donc plus économique pour les propriétaires privés de petits animaux de payer eux-mêmes les frais vétérinaires.
Si vous êtes intéressé par les offres de R V en matière de dommages aux revenus ou d'assurance du bétail, vous trouverez de plus amples informations sur un site web.